INFOS ÉDITEUR
Les éditions 10/18 a regroupé les trois volumes en une intégrale Parution en novembre 2016 Traduit par Inès Jorgensen Dans cette trilogie, Riel signe une fabuleuse fresque du peuple inuit, portée par un souffle puissant. (Source : 10/18 – Pages : 576 – ISBN : 9782264069856 – Prix : 12,90 €) |
Tome 1 – Heq Parution aux éditions Gaïa en 1998 Parution aux éditions 10/18 en juillet 2001 Traduit du danois par Inès Jorgensen Avec ce premier volet du cycle Le Chant pour celui qui désire vivre, Jørn Riel nous transporte aux temps immémoriaux des premiers hommes. L’Humanité a alors essaimé sur les cinq continents, et Heq et son clan migrent vers le Groenland à travers le Grand Nord canadien. Au cours d’une épopée glaciaire, une fabuleuse fresque ethnologique rythmée par les chasses à l’ours et les veillées…
Tome 2 – Arluk
Parution aux éditions Gaïa en 1996 Parution aux éditions 10/18 en juillet 2001 Traduit du danois par Inès Jorgensen Second volet du cycle Le Chant pour celui qui désire vivre, Jørn Riel, le chantre de la banquise, brosse une fabuleuse fresque ethnologique du peuple Inuit. Pour accomplir la parole de ses ancêtres, Arluk, un apprenti chaman, parcourt les » pays merveilleux « . Avec son clan, il consacrera une vie entière à faire le tour du Groenland. Dans un environnement hostile, confrontés à la faim et à la lutte pour la survie, la légende se poursuit, à la rencontre des mythes et des colons nordiques. Tome 3 – Soré Parution aux éditions Gaïa en 1997 Parution aux éditions 10/18 en décembre 2001 Traduit du danois par Inès Jorgensen Après Heq et Arluk, voici le troisième volet du Chant pour celui qui désire vivre, cycle consacré par l’auteur des désormais célèbres Racontars aux Inuit. Avec cet hymne à un peuple du Grand Nord, mémoire des paroles et des rires qui délivrent du dur désir de survivre, on en apprend autant, mieux et plus vite qu’avec n’importe quel documentaire. Car la prose de Riel, pourtant d’une grande simplicité, est traversée d’un souffle lyrique qui est la marque des chefs-d’œuvre. Soré se lit comme un conte, un conte que l’on avalerait – a-t-on écrit – « comme une bouchée de mattaq (peau de narval délicieuse à consommer sur la bête tout juste harponnée) et qui vous laisse dans la bouche un arrière-goût suave et salé ». |
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