Porté par l’écriture poétique de Sjôn, Le garçon qui n’existait pas est une ode à la puissance créatrice de la jeunesse.
INFOS ÉDITEUR
Parution aux éditions Rivages en novembre 2016 Traduit de l’islandais par Eric BOURY Dans ce récit bouleversant, Sjon réinvente l’histoire de sa famille à travers la figure de Manasteinn, Pierre de lune. Garçon différent, il fuit une réalité âpre dans les salles obscures. À travers cette évocation poétique, c’est Reykjavik que le roman recrée : une ville ravagée par les épidémies qui semblent annoncer la fin du monde. Traduit dans plus d’une quinzaine de pays, Sjon est un personnage important en Islande et en Amérique, couronné de prix littéraires. Reykjavik, 1918. La ville semble recouverte d’un voile crépusculaire. Hantée par la crainte d’un front scandinave, alors que la Première Guerre mondiale s’achève en Europe, la population redoute également une épidémie de grippe espagnole. Dans ce moment de chaos, un adolescent, Mani Steinn (Pierre de lune), doit affronter un tumulte plus intime. Homosexuel, il est rejeté par les siens. Pourtant, une immense énergie s’empare de lui depuis qu’il a découvert le cinéma, l’art, l’exaltation qu’offre l’imaginaire. Et le désir. Porté par l’écriture poétique de Sjôn, Le garçon qui n’existait pas est une ode à la puissance créatrice de la jeunesse. (Source : Rivages – Pages : 160 – ISBN : 9782743635060 – Prix : 16,50 €) |
L’AVIS
Vous voulez partager votre lecture, contactez nous