"Ultimes rituels" possède tous les codes du thriller avec des passages un petit peu sanglant. Notamment la découverte du corps. Une auteur qui plaira aux lecteurs de Maxime Chattam
Steinar Bragi intègre au thriller fantastique classique des éléments empruntés aux légendes islandaises, et donne ainsi une version islandaise d'un genre international.
Arni Thorarinsson nous expose sans lourdeur les problèmes de cotations de pêches, la mutation de la société mais également le problème de la maltraitance et des abus. Une ambiance qui rappelle celle du huis-clos
Arni Thorarinsson nous livre tous les aspects de la société suédoise : l'importance de la famille dans une société en pleine mutation, la mixité et en même l'homophobie ainsi que le racisme.
La vie est difficile quand on est alcoolique “en pause” et journaliste exilé, pour mauvais esprit, dans le nord de l’Islande. Pourtant, il se passe des choses dans ce grand nulle part bouleversé par la mondialisation et l’arrivée des émigrés.
Arnaldur Indridason dénonce avec virulence les dérives de la société islandaise : l’augmentation de la violence, le nombre croissant des viols et le mépris affiché par la justice envers les victimes.
Erlendur reçoit la visite de Karen qui lui affirme que ce n’était pas "le genre" de Maria de se suicider. Elle lui remet une cassette contenant l’enregistrement d’une séance chez un médium que Maria est allée consulter...
Le corps d’un petit garçon était couché dans la neige lorsque la voiture d’Erlendur est arrivée au pied de l’immeuble de banlieue, en cette fin d’après-midi glaciale de Reykjavik...
Le commissaire Erlendur et son équipe recherchent des hommes ayant disparu dans les année 60. Indridason prend son temps pour raconter l'histoire. Avec une intrigue simple, il maintient le lecteur dans le suspens.
Le Père Noël a été assassiné juste avant le goûter d’enfants organisé par l’hôtel de luxe. Le commissaire Erlendur, déprimé par les interminables fêtes de fin d’année, s’installe à l’hôtel et mène son enquête
Le commissaire Erlendur et ses adjoints dans un récit au rythme et à l'écriture intenses et poignants, aux images fortes et aux personnages attachants et bien construits. Un Arnaldur INDRIDASON grand cru !
Erik Axl Sund est le nom de plume du duo Jerker Eriksson et Håkan Axlander Sundquist . Auteurs de la trilogie Les visages de Victoria Bergman : Persona, Trauma et Catharsis.